Là, très loin, le foutrement rien est fifou. Il joue à la fifa, des tripates fanées à la place des picétout.

La ruse, elle, patate. Elle patine entourée de flou, et les kaplas s'assemblent aux duplo, avec diplomatie, sans armes, attirés par le sel du ciel.

Le sursaut du kepon prends le rayon du soleil à rebours. Fifi, pas loin amorce la fin du marsu, Eastwood cligne. Le bois pas ça, c'est plein de carpes.

Et le sombre toi s'éclaire.

Des êtres, loin de là, regardent la criée d'amour avec humour. Ensérrées entre la côte et le flan, la lune essuie quelques larmes, kapout. Pout. Pout. Kaplout. Pouf.

Changement.

Zaza, la mémé kepon tricotte, repue, une armure cozy. Un vieux coucou russe, un lendemain de cuite canon, un camion tarabiscoté et la papi apparait, repu. Il rampe sur les montagnes de murmures magnifiques, mimi comme le craquement d'un ampli à lampe.

Marsu, sans son masque poilu rencontre milan, l'oiseau, le grand rapace qui dépèce toi c'est l'heure. Allez hop hop.

Psssss. Pssssst. Hé.

Zaza, kapout.

Zaza, kapout.

Je rampe, j'oublie les oiseaux et j'ouvre la fenêtre qui plonge sur le banc d'en bas. La montagne salée sous le ciel est là aussi. Je sens ses rapides, mais pas trop. C'est trépidant. Corde liée. Être là. Soin. Repli souple, rires.

Sur de soi. La rage s'essouffle.

Zaza Kapout, 12 avril 2025